Dès le printemps des colonnes de fourmis font leur provisions de jeunes pousses et feuilles tendres …
pour vous protéger de ces glaneuses :
Faites macérer du tabac avec un peu d’eau dans un seau (quelques mégots de cigarettes peuvent aussi faire l’affaire).
Faites tremper dans cette décoction une ficelle suffisamment longue pour qu’elle puisse entourer plusieurs fois votre arbre fruitier.
Enroulez ensuite la ficelle imprégnée autour de votre tronc d’arbre, à hauteur de 10 à 15 cm.
Cela fera fuir efficacement toute la colonie de fourmis !
Un feu d’artifice de couleur de tous les tons
Le liquidambar, un arbre majestueux à planter au jardin pour un spectacle d’automne époustouflant. Le pied se vend en grande surface 10 euro, proche des érables, l’Eté Indien
Au Canada donne une indication de ce que vous obtiendrez en 3 ou 4 ans
Info++ bien arroser copieusement les deux premières années pour que les racines aillent en profondeur car si vous arrosez peu, les racines restent à la surface et la plante supporte mal la sécheresse de l’Eté, les feuilles ne se developperont pas. Le port est pyramidal et l’arbre sous nos climat monte à 6 mètres
Info+ plante hautement décorative avec un feuillage d’abord vert, la disparition de la chlorophylle laisse apparaître progressivement les autres pigments …cuivre rouge, or et pourpre, à mesure que l’on avance dans l’automne.
Le liquidambar est un arbre majestueux originaire des Etats-Unis. Il fut découvert en Floride par les Espagnols en 1528 pour être introduit en Europe en 1681. Cet arbre splendide se caractérise par un feuillage découpé en 5 à 9 lobes. En automne, elles se parent progressivement de couleurs magnifiques entre l’or, le cuivre et le pourpre.
Une haie originale …. qui renvoie toute la luminosité
C’est la saison des plantations, si votre haie a souffert ces dernières années,
adoptez l’Eleagnus pour remplacer les pertes dues à la sécheresse.
L’Eleagnus compte 45 variétes mais deux sont à choisir pour que votre haie renvoie la lumière
Eleagnus augustifilia (argenté) ou Eleagnus Maculata (jaune vif, or métal)
Prenez un ou deux pieds pour vous faire la main et vous serez conquis.
Pousse facile, tient la sécheresse (même famille que l’olivier mais les feuilles sont dix fois plus grandes) résiste aux grands froids.
Se taille très facilement et pousses nombreuses, un pied taillé couvre une surface de haie de 4m2 et renvoie 70% de la lumière
alors qu’une haie de troëne ou de conifère absorbe la lumière.
La plante pousse quelle que soit l’exposition et ne demande aucun entretien à part la taille.
Info+ allez sur google et tapez « eleagnus maculata » et cliquez sur image
Info+ Pourquoi des pousses vertes apparaissent-elles sur mon éléagnus panaché ?
Il s’agit d’un phénomène de réversion, appelé aussi « retour au type », qui est assez caractéristique des végétaux à feuillage bicolore. Le caractère spécifique de la variété (qui est récessif) disparaît ponctuellement lorsque la plante est trop fertilisée ou mal exposée.
La vigueur des pousses à feuilles vertes étant supérieure, éliminez-les rapidement sinon elles finiront par dominer.
jardin….le look extraordinaire du cyprès de nootka pleureur
S’il faut avoir un seul sapin dans son jardin c’est celui là :
le chamaecyparis nootkatensis pendula qui nous vient du fin fond de l’Alaska
Les branches principales horizontales et se terminent recourbées vers le haut ,
portent des plaques de feuilles (qui ont l’aspect d’algues marines plates) pendantes verticalement.
Port : Conique pyramidal dont les ramules en drapperie lui confère un aspect pleureur.
Ecorce : Pratiquement lisse, de couleur brun-rougeâtre
Pousse très lentement
info+ pour lui garder une taille raisonnable (4 à 5m), donner des coups de bêches sur 30cm de profondeur
en cercle chaque printemps à 1,5m du pied pour limiter sa croissance (sinon en 20 ans il fera 15m de haut)
Ecologie /la plante ecolo et altruiste ….l’acacia albida..
Pour lutter contre la désertification, une méthode efficace et écologique consiste à planter des Acacias albida .
Il s’agit d’un arbre adapté au désert et présentant des qualités d’exceptions, notamment en raison de sa capacité à produire de l’azote(engrais) en s’associant à des bactéries vivant dans le sol au niveau de ses racines se forme des nodules de rhizobium
Chaque année, un champ français absorbe, en moyenne, 188 kg par hectare d’engrais azotés épandus sur les cultures, alors qu’une même superficie de terre africaine en reçoit seulement 4 kg. Mais les pays pauvres ont la possibilité d’exploiter un phénomène naturel : la fixation biologique de l’azote de l’air par certaines plantes tropicales qui utilisent les services de bactéries du genre rhizobium.
On trouve ces bactéries (rhizobia) tout le long des racines jusqu’à 35 mètres de profondeur, alors que ce genre de « bactéries vivent habituellement dans les deux premiers mètres du sol , en symbiose avec les racines des plantes. A ces faibles profondeurs, elles s’associent à la famille des légumineuses (luzerne, pois, soja, arachide) pour former des excroissances appelées nodules, qui captent l’azote de l’air afin de le transformer en ammoniac. Sous sa forme ammoniacale, l’azote peut être absorbé par la plante, qui dispose ainsi d’une source d’engrais intarissable, et non polluante, à la différence des nitrates, qui envahissent les nappes phréatiques. » Durant son jeune âge, les racines de l’Acacia albida sont colonisées par les rhizobia, qui concourent à sa croissance. Quand l’arbre vieillit, les racines descendent très profond dans le sol, à la recherche d’eau. Les rhizobia peuvent vivre jusqu’à une profondeur de 35 mètres. Ces bactéries sont des bradyrhizobia à croissance lente.
En raison de cette symbiose avec les rhizobia, et de l’enrichissement du sol qui en résulte, « une plantation de mil sous un Acacia albida fait plus que tripler les rendements protéiques de la plante. Par exemple, une culture de mil classique fournit 52,2 kg de protéines par hectare, tandis qu’une culture de mil sous couvert d’acacia permet d’en récolter 179 kg. En effet, l’arbre enrichit non seulement le sol en azote par ses racines, mais favorise la croissance des plantes grâce aux six autres éléments minéraux que contiennent les feuilles mortes : le calcium, le potassium, le magnésium, le sodium, le phosphore et le soufre. Bref, de l’engrais vert tombant du ciel. »
L’Acacia albida « présente un atout supplémentaire : il est le seul au monde à perdre ses feuilles à la saison des pluies, tandis qu’il se couvre de vert à la saison sèche . Ainsi, l’apport d’éléments minéraux coïncide avec le début des semis (saison des pluies), tandis que l’ombrage portée(port pyramidal inversé), crée en période sèche, un microclimat qui protège les cultures sous-jacentes. Le résultat est un abaissement de la température ambiante, ce qui diminue de moitié les pertes d’eau par évaporation au niveau du sol. »
histoire d’arbre ..comment …la sève monte au sommet d’un sequoia de 100 m de haut
Au printemps, quand le soleil se fait plus chaud, quand les jours s’allongent, l’arbre sort de sa léthargie pour se muer en véritable usine photochimique. Alors, la sève bouillonnante prend d’assaut le tronc, les racines fouillent le sol pour en aspirer sucs et humidité, et les bourgeons déploient leurs panneaux solaires en forme de feuilles. La fabrique chlorophyllienne est prête à tourner à plein régime!
La photosynthèse, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, s’empare de la lumière du soleil pour casser les molécules d’eau (H 2O) livrées dans la feuille par la sève brute. L’oxygène ainsi libéré repart aussitôt dans l’atmosphère sous forme de gaz, tandis que l’hydrogène s’allie au gaz carbonique absorbé par la feuille pour fabriquer des glucides, de l’amidon, puis de la lignine, qui compose le bois. Pour fabriquer un seul kilogramme de bois sec, l’arbre doit piéger le gaz carbonique contenu dans 4.000 m3 d’air! Ainsi, le Séquoia, Sherman Tree dont les 2.000 tonnes font l’arbre le plus lourd au monde, a respiré au cours de sa longue vie un volume d’air qui aurait pu recouvrir la France sur 20 mètres!
Cet incessant va-et-vient de molécules entre les racines et les feuilles se déroule par un réseau de canaux placés sous l’écorce. Pour hisser la sève brute depuis les racines où elle est fabriquée jusqu’à la cime de l’arbre, culminant parfois à plus de 100 mètres de hauteur, il faut pouvoir compter sur une puissance considérable. Celle-ci est fournie par deux moteurs. Le premier est actionné par l’évaporation qui se produit à la surface des feuilles. Suivant l’arbre et les conditions climatiques, cette simple succion peut tirer une colonne de 60 mètres en une heure. Le second moteur prend le relais du premier quand il ne fait pas assez chaud pour provoquer une évaporation. Cette fois, le mécanisme se loge dans les racines dont les cellules, en se chargeant d’ions puisés dans le sol, créent par osmose un appel d’eau qui pousse la sève
Un séquoia peut ainsi hisser 2 tonnes d’eau par jour à 100 mètres de hauteur. Pendant les six mois de printemps et d’été, un chêne rouvre adulte suce 100 tonnes d’eau, soit 225 fois son poids. Une futaie de hêtres de 1 hectare absorbe et rejette dans l’atmosphère 3.500 à 5.000 tonnes d’eau par jour! Cette évaporation massive des forêts du monde provoque un refroidissement de l’atmosphère terrestre. Pour alimenter en flux tendu l’usine chlorophyllienne en eau et en nutriments, les racines ne cessent de s’étendre. Le réseau racinaire d’un arbre de 20 mètres de hauteur exploite jusqu’à 250 m 3 de terre.
A côté de la sève brute, il en existe une autre, dite élaborée, émanant des feuilles et qu’un deuxième réseau achemine vers le reste de la plante. Cette fois, l’écoulement est assuré par un gradient de pression créé par la différence de concentration en substances dissoutes.
Ces deux réseaux qui acheminent les sèves brutes et élaborées sont refaits à neuf chaque printemps. Ce travail est confié au cambium, un tissu cellulaire qui entoure le bois comme un manchon. Il est à double face: vers l’intérieur de l’arbre, il fabrique le bois (aubier), composé d’un entrelacement de cellules verticales qui véhiculent la sève brute et de cellules horizontales (les rayons ligneux) qui stockent les réserves de glucides; vers l’extérieur, le cambium façonne le liber, où circule la sève élaborée. L’écorce possède elle aussi sa propre couche de cellules multiplicatrices fabriquant le liège. Chaque année, l’arbre accumule donc une nouvelle couche de bois, appelée cerne. Au bout de quelques années, les cellules meurent, il ne reste plus que la lignine qui constitue le vrai bois. Celui-ci est donc mort. Ne dit-on pas qu’un arbre n’est rien d’autre qu’un cadavre recouvert d’une mince peau vivante? Le coeur d’un chêne, d’un marronnier ou d’un platane peut donc pourrir et disparaître sans problème. Sinon fragiliser l’arbre, qui, un jour ou l’autre, s’abattra sous son propre poids.
L’usine chlorophyllienne tourne à plein régime jusqu’à l’automne, quand les feuilles jaunissent et tombent. Condamné au chômage technique, l’arbre ne reprendra vie qu’au printemps suivant. Et ainsi de suite durant des dizaines, des centaines, voire des milliers d’années. brute vers le haut
bégonia bambou………
C’est au 17ème siècle que l’intendant de Rochefort, Michel Bégon organisa une expédition aux Amériques et aux Antilles.
En 1869, le père Plumier y découvre une plante qu’il nomma du nom de son protecteur.
On trouve à Rochefort le conservatoire du Bégonia ou sont cultivés plus de 1300 espèces naturelles et hybrides.
Depuis 1845, plus de 10000 hybrides ont été obtenus
Rochefort capitale mondiale de la …Bégonia depuis 300 ans…à visiter.
Vous connaissez tous la bégonia Bambou (bégonia avec ses tiges de 1 à 2 mètres avec ses abondantes inflorescences roses pâle triangulaires,
vendu chez les fleuristes dans des pots stylisés et packagé à la japonaise sous le nom de Tamaya
Info+ c’est une plante qui ne supporte pas le gel et il fleuri toute l’année et peut atteindre 1.50 m de haut
il peut passer l’été dehors en mi ombre attention au brûlure du soleil
Incroyable …mais vrai
On vient de découvrir à Madagascar une espèce (pas une variété) de palmier inconnu…De 20 mètres de haut !
L’analyse ADN des prélèvements confirme que c’est une espèce nouvelle et inconnue,
une équipe de scientifique a débarqué pour étudier le phénomène
et a répertorié 100 individus que l’on s’est empressé de protéger.
La trouvaille date de deux ans mais était restée secrète. Xavier Metz et sa famille, cultivateurs français installés à Madagascar, se promenaient dans un coin perdu au nord-ouest de l’île quand ils ont découvert un arbre étrange, qu’ils ont abondamment photographié. Les images ont été envoyées à John Dransfield, chercheur britannique au Royal Botanic Garden (à Kew), qui n’en a pas cru ses yeux.
il présente l’étonnante propriété de ne fleurir qu’une fois dans sa longue vie et de mourir immédiatement après, en s’écroulant sur lui-même.